11/02/2008
Le pataquès neuilléen
Le pataquès neuilléen et la déconfiture du jeune Martinon montrent que le pouvoir, en République, c’est bien embêtant mais c’est comme ça, vient des électeurs. Le temps est révolu où le Roi offrait de bonnes places aux neveux du Cardinal. Cela dit, une question se pose, récurrente : comment se fait-il qu’un leader local, quand il quitte son mandat après un règne sans partage, n’arrive jamais à organiser sa succession ? Chez moi, en Bourgogne, chacun se rappelle le pataquès dijonnais quand Poujade est parti, le pataquès auxerrois quand Soisson a quitté sa mairie, etc, etc. J'y vois deux...