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Je ne suis pas du tout choqué par la "candidature" de la théologienne Anne Soupa au poste d’archevêque de Lyon. Chacun comprend que cette annonce est une façon très médiatique – parfaitement dans l’esprit de l’époque – d’attirer l’attention sur la trop lente féminisation des sphères dirigeantes de l’Eglise catholique. Nul ne s’étonnera que cette annonce, aujourd'hui, concrètement, n’ait pas plus d’effet que la candidature d’un enfant mineur à l’Elysée, ou d’un non francophone à l‘Académie française, ou d’un octogénaire au concours de Miss France. Comme on dit dans la com’, le message,...

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