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J’ai du mal à partager l’espèce de fascination qui a gagné nombre de commentateurs après la victoire électorale d’Alexis Tsipras en Grèce. D’abord, l’enthousiasme à son endroit de Pierre Laurent (PCF) et de Marine Le Pen (FN) devrait rafraîchir un peu, me semble-t-il, les éditorialistes. Ensuite, il y a un détail qui a dû échapper à certains : contrairement au Vénézuéla d’Hugo Chavez, la Grèce n’a pas de pétrole pour financer plein pot les promesses de son nouveau démagogue. Mais bon. Tout le monde a l’air de s’entendre pour dire que tout cela n’est pas tragique puisque "l’Europe...

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