Y a comme un malaise
08/07/2010
Le remplacement de Patrick de Carolis par Rémy Pflimlin à la tête de France-Télévisions illustre bien le malaise actuel. Ce remaniement n’y a rien d’illégal puisque le chef de l’Etat a désormais la faculté de nommer lui-même les patrons de l’audiovisuel public. Par ailleurs, Rémy Pflimlin est sûrement un bon professionnel : il connaît la maison puisqu’il a déjà dirigé France 3. Rien ne tout cela n’est scandaleux. Mais autour de moi, y compris dans ma campagne, les gens se posent une question toute bête : si, comme tout le monde le dit, Patrick de Carolis a été un bon président, responsable, innovant, honnête, tout ça, alors, sacré nom d’un petit bonhomme, pourquoi le virer ?
4 commentaires
Voilà une question qui n’avait pas besoin d’être posée ni en 1982 au moment de la nationalisation des PDG de très grandes entreprises industrielles, de banques ou d’assurances ,ni en 1986 /87 au moment de la reprivatisation de certaines de ces grandes entreprises. Le « remplacement » ou l’éjection d’un PDG passait comme une lettre à la poste. Au nom du « changement » .
Voilà une question qui n’avait pas besoin d’être posée ni en 1982 au moment de la nationalisation de très grandes entreprises industrielles, de banques ou d’assurances ,ni en 1986 /87 au moment de la reprivatisation de certaines de ces grandes entreprises. Le « remplacement » ou l’éjection d’un PDG, passait comme une lettre à la poste. Au nom du « changement » .
Il ne fait pas bon être un ancien chiraquien à Sarkoland, cela suffit…
On change bien de bagnole alors que celle que l'on a va très bien!
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