DSK, un choix cornélien
03/12/2010
Le dilemme de DSK est cornélien. D’un côté : diriger l’économie mondiale ; être l’égal des Américains et des Chinois ; n’avoir que des amis ; gagner une fortune. De l’autre : se faire hacher menu dans une campagne électorale assassine ; aller faire des meetings à Charleville-Mézières, Uzès et Vierzon ; voir toute sa vie intime passée au crible de Paris-Match, ses frasques passées dans le Canard Enchaîné, sa déclaration de revenus sur Mediapart ; habiter le très inconfortable palais de Elysée ; renoncer à passer ses week-ends à Marrakech et le reste de sa vie dans les palaces ; n’être plus interviewé que par Fogiel, Elkabbach et Pujadas ; être détesté par 30 millions de Français… C’est vrai, moi, à sa place, j’hésiterais !
3 commentaires
Je lis vos commentaires acerbes (Côte d'Ivoire, DSK;...) comme si c'était moi qui les avaient écrit et pensé...
Mais ça ne me rend pas plus heureux....
Continuons....
:s
Aller faire des meeting à Charleville-Mézières ?
Mais il est déjà venu à Charleville-Mézières. Deux fois. Au parc des expos et au lac des vieilles forges. Si c'était si épouvantable que ça, il ne serait pas revenu nous voire.
Vous savez ce qu'ils vous disent, les carolo-macériens, monsieur le petit prétentieux confit en dévotions ?
La patrie du curé Meslier vous adresse ses salutations.
Réponse à Tom :
Je sais ce qu'ils me disent, cher Monsieur, pour une raison simple : mon père est né à Charleville, mon grand père est né à Charleville, mon arrière-grand père est né à Charleville...
...mais eux, ils avaient de l'humour !
Bien à vous,
...et sans rancune !
BL
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