Divorcés remariés : une sacrée contradiction !
25/09/2014
La tension monte, à Rome, à propos de l'accès des divorcés remariés à la communion. D’un côté, il y a les défenseurs de l’indissolubilité du mariage : ce que Dieu a uni, seul Dieu peut le désunir, point barre. De l’autre, ceux qui contestent l’injustice canonique qui veut qu’un quidam ayant tué son père et sa mère mais qui s’en est repenti en confession, puisse recevoir la sainte communion, alors qu’une femme abandonnée par son mari et qui, plus tard retrouve l’amour, se voit définitivement interdite d’eucharistie ! Pourquoi est-ce si compliqué ? Parce que voilà : les uns et les autres ont raison !
4 commentaires
L'important n'est pas de savoir si nous avons raison devant le Christ qui dit "je ne suis pas venu pour juger le monde mais le sauver". Nos disputes sont à côté du sujet unique qui importe aux Christ : Sommes nous prêts à nous soumettre à sa loi d'Amour et de Miséricorde.
Sous cette loi qui accorde le pardon à tout pécheur qui le demande, nous serons délivrés de nos regards et paroles subtiles et critiques.
Enfin les "brebis perdues" que sont, aux yeux de certains, les divorcés remariés ont trouvé le Berger qui de Rome les guide par ses paroles quotidiennes et hebdomadaires.
De ce fait les spécialistes en fabrication de "pesants fardeaux" se trouvent déjà au chômage technique et bientôt sans emploi.
Bonsoir, j'ai deux questions bêtes à poser. Comment un prêtre peut-il savoir qu'un fidèle qui vient communier est un divorcé remarié ?
Si le mariage chrétien ne peut-être annulé, il ne l'est donc jamais...donc, où est le problème (le divorce et éventuellement le remariage civil ne regardant pas l'église) ?
Cessons d'être catho, on n'aura plus tous ces problèmes.
Pour ma part, je milite pour qu'on publie un pénitentiel pour notre époque. Il faut harmoniser les pénitences de manière universelle et objective.
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