L'apartheid aux portes de Paris ?
25/11/2017
Si l’on a mis naguère des uniformes aux soldats, des maillots aux sportifs et des blouses aux écoliers, c’était pour constituer des groupes, des équipes, des collectifs où chacun était l’égal de l’autre : on s’en battait l’œil, dans ma jeunesse, de la couleur de peau ! Comment la République a-t-elle pu nourrir en son sein un syndicat enseignant (enseignant !) qui organise impunément, en Seine-Saint-Denis, des stages de formations "racisés", c’est-à-dire interdits aux blancs ? Non mais, ho ! Va-t-on s’exterminer, en France, demain, pour sa couleur de peau ? Pourquoi cette dérive insensée ? Qui a merdé ? Et quand ?
1 commentaire
Le merdeux : c'est la démagogie et la nécessité de se faire élire et réélire. Entretenir des différences factices pour mieux régner.
Dans votre temps comme dans le mien qu'importe des enfants de couleur noire ou jaune ou que sais-je d'abord c'étaient des enfants comme tous les enfants du monde.
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