31/10/2011
Mort d'un bon vivant
La mort subite de l’éditeur Anthony Rowley a été un choc, évidemment, pour ses proches, ses amis, ses auteurs. J’en étais. C’est lui qui m’avait poussé, en 2007, chez Perrin, à écrire les Secrets du Vatican. Son départ pour Fayard n’avait rien changé à notre amitié. Amoureux du livre, de l’histoire, de l’Europe et de la gastronomie, il était l’auteur d’une Histoire mondiale de la table qui n’avait pas attendu la vogue des Masters chefs télévisés pour devenir un classique. Anthony était un champion du savoir vivre. Sa mort est sa première faute de goût.
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