18/08/2024
Alain Delon, in memoriam
C’est comme pour les JO : la nouvelle de la mort d’Alain Delon rassemble spectaculairement la France, loin, très loin des petites combines politiciennes du moment. J’étais allé voir Delon chez lui, à Douchy quand je dirigeais la rédaction du "Figaro Magazine", en février 1997. C’était un personnage complexe, à la fois dur et presque enfantin, impénétrable, fragile et déconcertant. Que gardera-t-on de lui ? Qui dira, par exemple, qu’il est mort en tenant dans sa main une petite croix en bois ?
11:03 Publié dans Blog | Tags : delon | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
Commentaires
Alain Delon incarnait l'exact opposé de l'abjection qu'on a vue dans les cérémonies d'ouverture et de clôture des JO. Le public ressent cela et le montrera dans l'hommage qu'il rendra au grand homme. L'amour pour Alain Delon est le pendant de la haine et du mépris qui entourent Macron et la Macronie, c'est à dire l'Antifrance.
Écrit par : JVM | 18/08/2024
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