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28/11/2009

Bruguière se trompe

Bruguière.jpgJ’ai du respect pour le juge Bruguière, et je ne doute pas que son livre Ce que je n’ai pas pu dire (Robert Laffont) aura du succès. Je signale simplement, pour ceux qui s’intéressent au fond des choses, que ce qu’il "révèle" de l’attentat contre Jean-Paul II, en 1981, ne tient pas la route :

   - la thèse d'un règlement de compte entre le GRU et le KGB n'est pas nouvelle, elle n'est pas totalement absurde, mais elle ne repose sur aucun commencement de preuve, et Jean-Louis Bruguière n'apporte pas le moindre élément concret :

   - son informateur, le dénommé "Ivanov" (dont on aimerait avoir le vrai nom) est un fonctionnaire bulgare de seconde zone, qui n'avait aucune chance d'être au courant d'une opération aussi importante.

Affaire à suivre.

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