Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/11/2008

Dijon la mal aimée

"Chaque fois que je vais à Dijon, je régresse", a écrit l’écrivaine Camille Laurens, qui est née dans cette ville "fermée comme un visage crispé" (sic). Curieux comme les grands écrivains d’hier comme d’aujourd’hui ont détesté Dijon. Les auteurs du livre La Bourgogne dans les beaux textes (Ed. de Bourgogne, 2008) ont eu beau chercher : quand un Henri James ou un Henri Miller parle de Dijon, c’est pour en dire du mal. Dure, dure, la littérature sur l’ancienne nécropole des Ducs de Bourgogne ! "Mourir à Dijon, c’est un pléonasme", écrit encore Camille Laurens, qui a cité un jour, dans Libération, son ancien prof de philo : "Vivre à Dijon, c’est un oxymore". Il faut rattraper cela. Je lance un appel : Editeur cherche textes littéraires positifs sur Dijon…

Commentaires

Camille Laurens, auteure de Tissé par mille, Prix du Conseil Régional de Bourgogne 2008, Prix Bourgogne littérature, remis par M. Didier Martin, président de la commission culture du Conseil Régional de Bourgogne, dont la présence était annoncée le 28, 29 et 30 novembre au Salon européen du livre de Dijon organisé par la Société des Auteurs de Bourgogne ? Si Camille Laurens n'aime pas Dijon, Dijon aime Camille Laurens !

Écrit par : Murielle | 01/12/2008

Beh Je crois qu'Antoine Laurain aime, Michel Rederon aussi !
Il faut peut-être chercher chez ceux qui sont moins connus mais qui prennent le temps d'humer l'air de la ville quand ils viennent.

Écrit par : Thaïs | 04/12/2008

Les commentaires sont fermés.