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27/04/2009

Les canons du journalisme

lapix.jpg Vous voulez faire du journalisme et vous êtes moche ? N’y comptez pas. C’est râpé. Les critères d'embauche ont changé. Voyez Anne-Sophie Lapix, Laurence Ferrari, Florence Dauchez, Melissa Theuriau, Marie Drucker et toutes les présentatrices de LCI, I-Télé ou BFM-TV : que des canons ! Et chez les mecs, itou : Harry Roselmack, Laurent Delahousse, Guy Lagache, etc : que des apollons ! Si la télé jouait vraiment la carte de la "diversité", elle ferait demain une petite place aux hommes gras du bide et aux nanas pas terribles. Pathétiquement révélatrice, l’affaire Suzan Boyle : une femme laide de 47 ans qui gagne un concours de chant à la télé, cela est tellement stupéfiant qu’elle devient, en quelques jours, une curiosité planétaire !

Commentaires

Un jour, les moches se vengeront.

Écrit par : Jerome Godefroy | 28/04/2009

Juste un petit ajout. Si l'on a longtemps stigmatisé les ''profiteurs de la génération canapé'', l'on a un peu vite oublié les pépètes qui ajoutent à leur CV (entre les lignes cela va de soi) des talents d'expertes en utilisation de ce meuble irremplaçable dans toute carrière de canons télévisuelles.
Ne se plaignent, hélas, des assiduités des chefs de services, que les moches ou les beautés à principes, spécimens de plus en plus rares, il est vrai, d'une espèce en voie de disparition.
Sur quoi repose l'expérience du monde journalistique qui sous tend mon analyse?
En tant que reporter-photographe puis reporter rédacteur, j'ai failli avoir une carte professionnelle numérotée 20.717 ou 27, je ne me souviens plus bien, mais, pour d'obscures ''raisons'' patronales, je n'ai pu l'obtenir qu'un an et 1.000 et quelques numéros plus tard...
40 ans de métier, ça forme...et apprend pas mal de choses.
Ceci dit, les moeurs évoluant, la génération canapé fonctionne aussi pour le sexe dit fort.
Tout comme les générations, ou plutôt les clans, ethniques, politiques, religieux,...philosophiques (on appelle çà comme çà...), voire sexuels (si, si, même çà...)
Si on ajoute à ces multiples et exotiques moyens d'avancer dans la carrière, les copinages, magouilles, ambitions personnelles et autres compromissions, l'optimisme quant à l'avenir d'un journalisme digne de la confiance de ses lecteurs, auditeurs et téléspectateurs relève de l'illusion la plus pure, si le mot n'est pas trop osé.
Un pessimiste, ne dit-on pas dans notre profession, n'est qu'un optimiste bien informé.
Et notre clairvoyant et commun ancêtre nord-américain, ne disait-il pas, lui ''Nous sommes là pour réconforter les affligés et affliger ceux qui vivent dans le confort''?
''Nous faisons l'inverse, a-t-il conclu.''
Amicalement.
Maurice Caron.

Écrit par : caron | 01/05/2009

je pense que pour faire de journalisme il faut un gauele sincere et une bone presencie, mais le conon changes tous le jours, chaque deux annèes c`est différent, il faut caser l`sthetique déjà!

Écrit par : emule | 12/05/2009

Bah : de toutes façons, je regarde pas les infos tv. Mais je n'ai pas l'impression que les Chabot ou les Poivre aient jamais pris un quelconque risque en mettant à mal les grands de ce monde ou en renonçant le moins du monde à la langue de bois.

Alors potiche mâle pour potiche femelle, personnellement, je n'en ai rien à secouer. Et même, tant mieux si des jeunes femmes se font un peu de fric plutôt que de vieux poulets congelés.

Écrit par : BOUH | 05/09/2009

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