04/10/2013
Une erreur de casting
Retour sur le fiasco de Sophie Aram sur France 2. Ou plutôt sur le fiasco de son producteur : comment ce gars-là a-t-il pu confier une tranche horaire aussi "grand public" à une humoriste aussi "clivante" ? Sophie Aram, sur France Inter, avait traité de "cons" les électeurs du FN ; elle avait insulté pendant des mois les opposants au mariage gay ; elle brocardait méchamment chaque matin les catholiques, les musulmans et les électeurs de Sarkozy... S’étant ainsi mis à dos un peu plus des deux tiers de la population, il fallait être fou pour penser qu’elle pourrait retrouver tous ces gens-là comme si de rien n’était, gentiment, le soir, sur le service public, avant de passer à table !
09:54 Publié dans Blog | Tags : aram, france 2, télévision, humoristes | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook |
Commentaires
C'est justement pour toutes les raisons que évoquez qu'elle a été choisie..............une personne de grand talent......la sinistre de la culture l'a dit, alors!
Ils gaspillent notre redevance, ils perdent de l'argent puisque les annonceurs se sauvent de cette tranche horaire................
Ensuite les dirigeants de la chaine publique vont pleurer sur les déficits........ils sont nuls comme les autres..........mais comme ce n'est pas leur argent, ils s'en fichent...........comme les politiques .....celui qui ne devait pas choisir les présidents de chaine, il en dit quoi?................
Mais ils gardent cette péronnelle mal embouchée, c'est une victime du systéme, sa mère est ou a été en taule,
Si avoir du talent c'est insulter les personnes, je vais m'entrainer.................
Écrit par : Lisa | 04/10/2013
C'est un pur exemple de ce que sont dans leur immense majorité les média, c'est à dire de leur mentalité, et de comment ils fonctionnent. Que la sanction des français soit maximale.
Écrit par : Baobab | 04/10/2013
Les médias obéissant à l'esprit du monde, un esprit actuellement gauchiste, ils ne pouvaient choisir que ce genre de personne clivante. La pensée unique les y obligeait. Cela devenant absurde, ils vont quand même finir par trouver une solution plus consensuelle. Tout cela sur le dos du contribuable !
Écrit par : joachim | 05/10/2013
Les commentaires sont fermés.