Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/10/2013

Même le CSA s'énerve !

 drucker.jpgLe CSA vient de hausser la voix en direction des animateurs de France Télévisions qui passent leur temps à inviter sur leurs plateaux, quand ils publient des livres sur eux-mêmes, les… animateurs de France Télévisions ! Gérard Holz et Laurent Ruquier sont directement accusés d'avoir abusé de cette publicité clandestine. Encore la recommandation du CSA a-t-elle été concoctée avant la sortie du dernier opus de Michel Drucker, invité du matin au soir sur tous les plateaux, au point qu’on se demande pourquoi il n’a toujours pas reçu le prix Goncourt. Mais c’est ainsi : la télé ne connaît du monde réel que la télé ! On attend avec impatience la sortie des mémoires de Sophie Aram…


Commentaires

Le monde de la télé c'est un tout petit monde parisien, en fait ... Ils vivent en autarcie. Après le périph. il ne sait pas, ce petit monde, qu'il existe des êtres vivants et pensants. Devant une émission "tour de table" comme il y en a tant, j'ai entendu une journaliste déclarer, à propos d'un sujet que je connaissais bien (et toc) : "Oui, nous parisiens, on sait de quoi l'on parle, mais dans le fin fond de la France, à Chalon sur Saône, ils n'en n'ont jamais entendu parler" !!!! Depuis je la vois bien moins à l'écran. La vie pratique le tri sélectif/

Écrit par : chapé christiane | 14/10/2013

Merci Bernard.Je lis régulièrement tes écrits sur ton blog.
Je partage (nous) mon épouse et moi partageons tes avis
et tes réflexions. Bien cordialement à toi.
Maurice Thieffenat.

Écrit par : Thieffenat Maurice | 14/10/2013

Moi, je suis pour fermer les frontières de la Bourgogne. Comme ça, les "parigots" (tête de veau) qui nous infligent leur culture d'eux-mêmes paieront un droit d'entrée chez nous avant de parler d'eux-mêmes. Je rigole. Sans plus. :-)

Écrit par : Dominique Bruillot | 15/10/2013

Les commentaires sont fermés.