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20/04/2019

La symphonie des adieux

journee-gilets-jaunes.jpgLes premiers à rentrer chez eux furent les braves gens qui, nombreux, avaient voulu crier leur détresse devant la hausse du carburant, des impôts, des factures, mais qui ne voulaient ni vandaliser l’Arc de Triomphe, ni prendre d’assaut l‘Elysée. Puis s’en allèrent à bas bruit ceux qui ne se sentaient plus représentés par tous ces leaders autoproclamés aux arrière-pensées politiciennes. Partirent ensuite les fachos de l’ultra-droite, menacés du pire par les black blocs de l’ultragauche. Et c’est ainsi qu’il ne reste plus des "gilets jaunes" que quelques milliers de naïfs et une horde de casseurs décidés à tuer du flic. Triste histoire.