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26/02/2010

L'ouverture, jusqu'où ?

Si Sarko a promu Michel Charasse au Conseil constitutionnel, c’est qu’il n’a pas trouvé de juriste suffisamment expérimenté, à droite, pour y siéger. De même n’a-t-il trouvé aucun économiste de talent, à l’UMP, qui puisse remplacer Philippe Seguin à la Cour des comptes. Pareil pour remplacer Didier Migaud à la tête de la commission des finances de l’Assemblée. A croire qu’à droite, c’est tous des nuls. D’ailleurs, justement, à droite, j’en entends beaucoup qui s’escagassent grave : bien la preuve qu’ils ne comprennent rien, les simplets, à la politique d’ "ouverture" menée par l’ex-patron de l’UMP qu’ils ont élu président de la République ! Et moi, si je veux postuler pour diriger l’AFP, j’adhère fiça au PS ou j’attends que les électeurs, eux aussi, pratiquent l’ouverture à gauche... en portant Strauss-Kahn à l’Elysée ?

 

Commentaires

Voyons!
Le droit ne saurait être que de gauche.
L’économie ne peut s’imaginer que sociale.
L’ouverture à la Sarkozy présente l’indéniable avantage pour ses heureux bénéficiaires qu’ils n’auront pas de problème de conscience à résoudre pour le second tour en 2012.
Pour les fidèles désabusés et les grognards il n’y aura pas de regret dès le premier tour.
Les choses en 2012 seront beaucoup plus simples qu’en 1981 ,sauf au Conseil Constitutionnel où il ne doit pas être prévu qu’un ancien président puisse être remplacé par un ultime « ouverturé »…

Écrit par : dab | 26/02/2010

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