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07/11/2010

Ingratitude post-ministérielle

jean-pierre-jouyet.jpgNicolas Sarkozy n’aura pas eu de chance avec les ministres d'"ouverture". A chaque fois que l'un d'entre eux quitte son poste, en général pour un poste moins exposé mais tout aussi prestigieux, il se retourne aussitôt contre ses anciens collègues et tire dans le tas ! Alors que Martin Hirsch s'est fait délateur en dénonçant les cumulards du gouvernement, voilà que Jean-Pierre Jouyet explique, dans un livre, que l’ouverture est une "imposture" ! Bonjour l’ingratitude ! Je n’ose penser à tout ce que Sarkozy va prendre, l’an prochain, dans les livres de Bernard Kouchner, Fadela Amara et Eric Besson !

26/02/2010

L'ouverture, jusqu'où ?

Si Sarko a promu Michel Charasse au Conseil constitutionnel, c’est qu’il n’a pas trouvé de juriste suffisamment expérimenté, à droite, pour y siéger. De même n’a-t-il trouvé aucun économiste de talent, à l’UMP, qui puisse remplacer Philippe Seguin à la Cour des comptes. Pareil pour remplacer Didier Migaud à la tête de la commission des finances de l’Assemblée. A croire qu’à droite, c’est tous des nuls. D’ailleurs, justement, à droite, j’en entends beaucoup qui s’escagassent grave : bien la preuve qu’ils ne comprennent rien, les simplets, à la politique d’ "ouverture" menée par l’ex-patron de l’UMP qu’ils ont élu président de la République ! Et moi, si je veux postuler pour diriger l’AFP, j’adhère fiça au PS ou j’attends que les électeurs, eux aussi, pratiquent l’ouverture à gauche... en portant Strauss-Kahn à l’Elysée ?

 

07/10/2009

La femme de César...

Décidément, Sarkozy n’a pas de chance avec les ministres d’ouverture. Après l’affaire Kouchner, convaincu de magouilles pas nettes avec feu le dictateur Bongo, voilà l’affaire Mitterrand dont le grand public découvre l’irrépressible attirance pour les jeunes garçons tariffés et le tourisme sexuel. Le dossier Kouchner ayant été étouffé tant bien que mal, le ministre des Affaires étrangères est toujours en place. Mais il sera difficile d’éviter la démission du neveu de Tonton : le scandale Polanski vient de montrer le fossé qui sépare le peuple de France de certaines de ses élites – incarnées, pas de bol, par deux virulents défenseurs du cinéaste nommés Bernard Kouchner et Frédéric Mitterrand. Lesquels vivent leur vie à titre personnel, certes, mais qui sont, quand mêmes, d’étranges ministres de la République. Ceux-ci, en effet, doivent être comme la femme de César…