18/06/2010
La pelle du 17 juin
Une débâcle, c’est toujours une débâcle. Les Allemands étaient les plus forts, surtout en attaque ; les Mexicains aussi. Les premiers, comme les seconds, étaient plus motivés que nous. La guerre avait été mal préparée ; la Coupe du monde aussi. Notamment sur le plan technique. Pourtant les Français avaient été vainqueurs en 1918 ; comme en 1998. Mais ils avaient manqué de détermination face à l’adversaire, en 1938, à Munich ; comme en 2006, toujours en Allemagne. Puis la France, au lieu de se relever, comme l’y invitait tel ou telle personnalité peu écoutée, avait sombré dans ses vieux démons : la division et la dérision. Avant que Roselyne Bachelot ne fasse don de sa personne à l’équipe de France. En vain. Cela va être dur d’expliquer que la France a perdu une bataille mais qu’elle n’a pas perdu la guerre…
09:47 | Tags : football, histoire, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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