02/03/2011
Crise de rire ferroviaire (suite)
En rentrant chez moi, hier, j’ai fait un rêve étrange. J’ai rêvé que de plus en plus de gens sortaient de chez eux et, par milliers, décidaient de hurler leur colère et de briser le mur de l’indifférence et de l’oppression. Tous ces citoyens qu’on ne voyait jamais dans la rue se rassemblaient soudain dans leur capitale, ils bravaient les forces de police, flanqués de femmes et d’enfants épuisés, pour crier leur ras-le-bol à ceux qui ne les entendent jamais. La foule, estimée à plusieurs millions de personnes, avait conflué vers la gare Montparnasse, là où sont les bureaux des dirigeants de la SNCF, et brandissaient devant les caméras du monde entier des panneaux : "PEPY, DEGAGE !"
08:04 | Tags : sncf, révolution, pépy | Lien permanent | Commentaires (4) | 
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Commentaires
Changer le patron de la SNCF n'aurait strictement aucun effet
La seule solution est d'introduire la concurrence; c'est techniquement faisable (RFF a été créé dans ce but) et économiquement efficace (il suffit de regarder la révolution dans l'aérien depuis l'introduction de la concurrence!)
Naturellement personne ne bouge, tétanisé par la crainte des syndicats crispés sur leurs privilèges exorbitants
Il y aurait pourtant tout à gagner pour l'usager comme pour le contribuable ...
Écrit par : sirius | 02/03/2011
La SNCF vous souhaite une bonne année 2009
avec nos excuses pour ce retard.
Écrit par : Guiguet J Claude | 02/03/2011
Je ne sais pas ce que vous avez contre Mr Pepy alors que c'est sans doute le seul à essayer de faire bouger cette vieille locomotive rouillée qu'est la SCNF...les responsables sont ailleurs au sein de cette entreprise et ils n'aiment pas bcp leur président.
Écrit par : Loïc | 02/03/2011
Pas d'accord avec votre méchant billet de mauvaise humeur contre M. Pepy.
Les grèves à répétition, des syndicalistes jusqu'auboutistes, les dégradations ou vadalismes ne sont-ils pas les gros gros problèmes de la pauvre SNCF et non pas son Président.
Écrit par : alika | 02/03/2011
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