07/11/2014
Mur de Berlin : un mauvais souvenir ?
 Retour de Nice où j’ai vérifié, une fois encore, qu’on pouvait passionner les Français en leur racontant la chute du Mur de Berlin. Alors pourquoi nos dirigeants, eux, sont-ils si rétifs à commémorer cet anniversaire ? Parce qu'une moitié d'entre eux pense qu’au fond, même s’il y avait quelques excès regrettables, l’URSS était quand même, peu ou prou, le camp du "progrès". Et que l'autre moitié a raté l’occasion de changer, alors, le "logiciel" communautaire en se contentant de faire adhérer les pays de l’Est, un à un, à une Union européenne devenue obsolète. Dans les deux cas, en effet, il n’y a pas de quoi pavoiser.
Retour de Nice où j’ai vérifié, une fois encore, qu’on pouvait passionner les Français en leur racontant la chute du Mur de Berlin. Alors pourquoi nos dirigeants, eux, sont-ils si rétifs à commémorer cet anniversaire ? Parce qu'une moitié d'entre eux pense qu’au fond, même s’il y avait quelques excès regrettables, l’URSS était quand même, peu ou prou, le camp du "progrès". Et que l'autre moitié a raté l’occasion de changer, alors, le "logiciel" communautaire en se contentant de faire adhérer les pays de l’Est, un à un, à une Union européenne devenue obsolète. Dans les deux cas, en effet, il n’y a pas de quoi pavoiser.
22:03 Publié dans Blog  | Tags : europe,  mur de berlin,  communisme | Lien permanent  | Commentaires (1)  |  Facebook |
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Commentaires
très bonne analyse ....
Écrit par : spraul | 08/11/2014
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