28/01/2015
Des mots, des mots !
Trois semaines après l'attentat contre Charlie-Hebdo, les dirigeants politiques ont-ils tiré les leçons de ce drame ? Ils ont surtout réussi à nous noyer sous une pluie de concepts contradictoires menant à un grand flou général. En sus de lutter concrètement contre le terrorisme islamiste, voilà qu’on prône, pêle-mêle, la sévérité contre l’apologie du terrorisme, un grand plan d’action contre l’antisémitisme, la lutte contre l’apartheid dans les banlieues, l’idée du repeuplement dans les quartiers difficiles, un retour du fait religieux à l'école et, toujours et partout, le renforcement de la laïcité ! Quelqu'un peut-il me faire la synthèse ?
16:50 Publié dans Blog | Tags : terrorisme, laïcité, islam, apartheid | Lien permanent | Commentaires (5) | 
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Commentaires
Encore une fois... C est du n importe quoi
Du mâchouilli politicard.. En vérifiant bien, sinon à rien oublié
Tout y est passe
Moi j attends les retombées.. Soit -20 au prochain sondage...
Écrit par : Giraud AM | 28/01/2015
Encore une fois... C est du n importe quoi
Du mâchouilli politicard.. En vérifiant bien, sinon à rien oublié
Tout y est passe
Moi j attends les retombées.. Soit -20 au prochain sondage...
Écrit par : Giraud AM | 28/01/2015
au soir du 29 mars on aura une première vision politique de la France à partir des élections départementales, et là, ça peut faire mal à l'actuelle majorité.
Écrit par : Ulyssio | 28/01/2015
Vous auriez pu titrer "Des maux, des maux !" ou "Des mauvais, des mauvais !"
Écrit par : Baulo | 29/01/2015
Et pourtant, parmi tous ces concepts, on en a oublié plusieurs : la solidarité, la compassion, l'équité.
Dès le lendemain de l'attentat, l'État (entendez par là les contribuables) a débloqué un million d'euros pour permettre à Charlie Hebdo de repartir.
Il semble qu'on ait oublié le propriétaire de l'imprimerie dont l'outil de travail a été détruit par les forces de l'ordre au moment de l'assaut final. Si on en croit la presse, il a fallu un mouvement de solidarité publique du voisinage pour réunir les 100 000 euros dont il a besoin pour remettre en route son entreprise. VIVE L'ÉGALITÉ RÉPUBLICAINE.
Écrit par : René Didier | 29/01/2015
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