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18/02/2018

Le bon vieux temps des sorcières

Caroline de Haas.jpgA part un jeune avocat, aucun des invités de Laurent Ruquier, hier soir, n’a osé condamner – on n’est jamais trop prudent – les accusations insensées de la féministe Caroline de Haas, mardi, sur France Info, contre Nicolas Hulot : elle "avait des amies qui lui avaient dit", enfin, qu’elle "n’a pas vues en direct", mais que "certaines infos lui étaient remontées, depuis plus d’un an", etc, etc. Accuser publiquement un homme à partir de rumeurs aussi floues, c’est faire faire à la civilisation un bond de plusieurs siècles en arrière ! Dans l’Obs, la même affirme "qu’un homme sur deux ou trois est un agresseur sexuel" (sic). Voilà qui devrait la déconsidérer définitivement. Sauf, bien sûr, à la télé.

Commentaires

Beaucoup de femmes abusées n’osent parler par honte, par peur -à l’instar de Pascale Mitterrand- des répercussions sur leur entourage, leur propre vie, du qu’en dira-t-on, ... C’est toute l’ambiguïté et la spécificité de ce genre de crime, et finalement la force de leurs auteurs. Même si, comme il n’est pas interdit de le craindre, le ministre chouchou Hulot s’est adonné à d’autres exactions du même genre, y aura-t-il une victime pour prendre le risque de remuer le couteau dans sa « propre » plaie et de subir affreusement d’autres répliques au traumatisme initial?

Écrit par : Baobab | 18/02/2018

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