31/01/2024
Et la politesse, bordel !
En écoutant le discours de Gabriel Attal devant l’Assemblée nationale, hier, j’ai eu honte. Ces vociférations, ces hurlements, ces cris et ces insultes que les députés de la Nupes n’ont cessé de jeter au visage du nouveau Premier ministre, quelle indignité ! Quel manque d’éducation, de politesse, de respect, d’intelligence ! Quel triste exemple donnent ces élus mal élevés aux jeunes qui les écoutent ! Qui peut croire que c'est dans ces criailleries infantiles qu’il faut aller chercher l’avenir de la France ?
00:17 Publié dans Blog | Tags : parlement, politique, lfi, nupes, attal | Lien permanent | Commentaires (2) | 
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Commentaires
Précision : du poulet, de la dinde, de l'oie,du canard, de la pintade dont la signalétique est Label Rouge, évidemment !
Écrit par : HENRY | 31/01/2024
Vous avez raison, c'est mal élevé.
Je ne comprends pas pourquoi l'opposition Nupes + RN + LR n'a pas tout simplement dit ceci, en trois allocutions de moins d'une minute chacune qui auraient pu être faites très poliment:
Monsieur le premier ministre, nous avons entendu vos propos. Nous sommes opposés à votre politique que nous jugeons désastreuse. Nous vous jugeons indigne de gouverner notre pays, la France. Nous jugeons scandaleux que vous n'ayez pas cru bon d'engager la responsabilité de votre gouvernement sur votre politique. Comme vous ne l'avez pas fait, nous demandons une motion de censure.
Si la Nupes + le RN + les LR demandaient ensemble cette motion de censure, le premier-minet tomberait et le peuple pourrait choisir une majorité.
Je ne suis pas français, mais je suis sidéré de voir la pratique que Micron et ses mignons font des institutions de la Vème république. Il n'a pas de majorité, c'est entendu. Alors il aurait pu choisir un vieux routier de la politique, maçon et expérimenté: par exemple François Bayrou, qui aurait pu tenter de trouver une majorité avec des bouts de ficelles, dans un centre ondoyant et divers. C'eût été difficile, mais Bayroiu aurait pu réussir un tour de force.
Non, Jupiter n'a pas voulu faire de la politique. Il a osé parler d'"audace" et il a nommé un bébé, un favori promu en raison d'obscurs secrets d'alcôves du lobby gay, qui s'est empressé de nommer son ex "mari", un autre mignon de la cage aux folles, au quai d'Orsay alors que ce dernier n'a aucune compétence diplomatique. Et ce dans une Europe en guerre, où la France est belligérante.
Le plus grave c'est que la majorité du parlement, qui rejette cette politique, est complice, car par confort elle n'ose pas demander la censure.
Tout cela déshonnore une grand vieux pays. C'est atterrant.
Écrit par : JVM | 01/02/2024
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