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26/02/2009

Un banquier, un vrai de vrai !

Je ne connais le dénommé François Pérol ni des lèvres, ni des dents, et je me fiche complètement du devenir de la fusion entre la Caisse d’Epargne et la Banque populaire qu’il est censé présider. Mais je suis sidéré des attaques menées contre ce monsieur par Martine Aubry, François Bayrou et autres détracteurs compulsifs de Nicolas Sarkozy : pour éviter "pantouflage et corruption" (sic), plutôt qu’un homme qui a visiblement fait ses preuves et qui a sa confiance pour diriger la deuxième banque française en pleine tempête financière mondiale, le chef de l’Etat serait-il donc obligé de nommer à ce poste un banquier pur sucre, un vrai, avec parapluies dorés, bonus gigantesques, velléités de subprimes, incompétence notoire et aveuglement face à la crise ?

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