22/07/2019
Avec deux jours de retard...
Deux poids, deux mesures. Qu’un président de l’Assemblée nationale (François de Rugy) fasse servir du homard à des dîners officiels, et l’ensemble des médias surexcités suivent, minute par minute, ce feuilleton désolant. Qu’un jeune enseignant guinéen (Mamoudou Barry) soit sauvagement assassiné à cause de la couleur de sa peau, en plein jour, à Rouen, par des supporters algériens, le jour de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations, et les mêmes médias mettront deux jours à se demander, prudemment, s’il s’agit bien d’un crime raciste ! Il y a quand même un sacré problème dans le traitement de l’information, non ?
09:46 Publié dans Blog | Tags : racisme, football, rugy, médias, information | Lien permanent | Commentaires (1) | 
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Commentaires
Il faut garder à l'esprit que la totalité de la presse française appartient à 5 propriétaires privés, ce sont les milliardaires qui ont financé l'accès à la présidence d'E.Macron, médiatiquement et financièrement. Aucune raison de douter du filtrage constant, du maintien de l'information, de son morcellement. C'est un outil de manipulation et de pouvoir. Alors certes, il y a 2 voire bien plus de mesures à ce propos. Mais aucune raison de s'étonner, les ordres viennent d'en haut depuis bien longtemps.
Juste un exemple : quand Elise Lucet, présentatrice vedette du JT de 20h sur la 2, a produit le reportage sur le travail de lobbying forcené mené par des cabinets privés (avocats & fiscalistes payés par les plus grands trusts internationaux) à Bruxelles pour fournir clefs en main les textes de lois votés ensuite en l'état à la Commission Européenne, il n'a fallu que 4 jours pour qu'elle soit écartée de son poste. Sa notoriété était trop belle pour laisser passer ce genre de publication, pour l'image des politiques autant que des vrais décideurs internationaux.
Et pour clore, il y a des dizaines d'années que le gouvernement français laisse faire les bandes de petits malfrats issus de l'immigration. Pourquoi s'étonner du résultat, c'était prévisible. Mais si vous dépassez de 6 km/h la vitesse limite, vous êtes un criminel de la route, vous savez ce qui va arriver. Quand c'est le tour d'une bande de banlieue, on retrouve les mêmes 48h après qui rigolent et recommencent. Laxisme et sélection, racisme inversé à notre encontre ... merci à la loi française qui préfère foutre dedans ses ressortissants pour des pécadilles plutôt que de foutre dehors le pourcentage effarant de gangsters étrangers abrités, nourris et soignés dans les prisons. Mais ceci n'est qu'un exemple, il y en a tellement d'autre, et parfois bien plus graves.
Écrit par : J-Louis Latsague | 22/07/2019
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