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11/12/2011

Valls à l'ancienne

valls.jpgScène réjouissante, hier soir, chez Ruquier. L’invité politique, Manuel Valls, réformiste bon teint, sympathique et propre sur lui, explique que François Hollande, dont il est devenu le porte-parole, est un candidat formidable… quand tous les autres invités, de Bruel à Pulvar, de Majimel à Polony, de Berry à Ruquier lui-même, lui tombent dessus : ras-le-bol des bons sentiments et de l’anti-sarkozysme, du concret, svp ! Valls est surpris, il patauge. Sonné, atone, il ne comprend pas que la crise est là, qui force les politiques à changer radicalement de langage. Surtout ceux qui prétendent gouverner le pays.