14/12/2016
Une primaire vraiment primaire
Un Peillon qui entre, une Lienemann qui sort. Cela tourne au mauvais gag. Le citoyen moyen, qui ne distingue pas Peillon de Hamon, et qui ne sait pas qui est Filoche, a décroché depuis longtemps. La primaire du PS, ou de la gauche, on ne sait plus, se présente comme un jeu d’initiés plutôt brouillon, pas drôle, et sans espoir. D’autant plus que le vainqueur, qu’il s’appelle Montebourg ou Valls, sera empêché par Mélenchon (proche de Montebourg) et Macron (proche de Valls) d’accéder à la finale du second tour. Tout cela ne contribue ni à la paix dans le monde, ni grandeur de la France, ni à l’amélioration de la vie des Français. Jeux de nains, jeux de vilains.
12:20 Publié dans Blog | Tags : primaires, 2017, ps, peillon, gauche | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
Commentaires
Peillon c'est la caution anti-cathos du PS, le côté marxisme qu'il faut garder contre tous les tyrans de la terre. La primaire sera là comme une caisse de résonance pour cracher sa diatribe et de tout ce qu'il pense du mal des chrétiens et de leur religion.
Il parle même d'une religion républicaine, comme si les 2 mots avaient une cohérence entre eux. La république est un régime, la religion est une espérance pour l'essence divine. Ca n'a rien à voir mais le dogmatique socialiste n'en a que cure.
Quand au PS, il a fait une croix sur la présidentielle. Ce qui les intéresse :
- sauver les postes de députés et sénateurs (money is money)
- savoir qui dirigera le PS sous peu (donc tout sauf Valls)
- reprendre la vielle ligne du parti avec son lots de dogmes et de démagogie qui permettent de faire vivre tant d'inféodés au dépend des autres (solliciter la misère comme tremplin pour avoir des postes en vue)
Écrit par : Alain De Vos | 14/12/2016
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