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29/08/2017

Politique et médias : la confusion s'étend...

Elysée,Sérillon,Roger-Petit,Macron,informationEmmanuel Macron vient de commettre la même erreur que son prédécesseur : nommer un journaliste engagé (Bruno Roger-Petit) comme porte-parole de l'Elysée. On a bien vu avec Claude Sérillon, après l'élection de François Hollande, qu’un polémiste habitué à dézinguer à la fois les hommes politiques de droite et les journalistes qui pensent autrement que lui, n’aura jamais aucun crédit auprès des relais d’opinion (rédacteurs en chef, éditorialistes, polémistes, humoristes, etc). Mais, bon sang, pourquoi ne pas avoir nommé à ce poste politique un… politique ? Déjà que les politiques trustent dorénavant les postes de chroniqueurs dans les médias ! Quelle confusion !

12/01/2017

Le journalisme mène à tout...

laurence-haim.jpg...à condition d'en sortir, disait naguère l'écrivain Jules Janin. Ma consœur Laurence Haïm, ex- correspondante de Canal + et de I-Télé aux USA, devient donc porte-parole d’Emmanuel Macron. Je rigole en entendant s’étrangler d'indignation Jean-Michel Apathie ou Guy Carlier (qui sont devenus des amuseurs publics, à égalité avec Roselyne Bachelot qui a fait le trajet inverse) ou Robert Ménard (qui a oublié qu’il fut journaliste). Faudrait-il condamner tous les Sérillon, Baroin, Lucbert, Baudis, Gerbaud, Cavada, Mamère et tant d’autres ex-confrères qui ont choisi la politique ? Eux, au moins, se sont coltinés à la vraie vie avant de prétendre améliorer celle de leurs concitoyens !

02/01/2013

Le handicap de Sérillon

sérillon.jpgClaude Sérillon, nouveau conseiller du Président pour les médias, est un garçon sympathique à qui je ne souhaite que des succès. Mais il a un sacré handicap : il est de gauche. Or, pour être efficace au poste qu’il occupe, il ne faut surtout pas être militant. D’abord, il faut se mettre en phase avec une population, pas avec un électorat. Ensuite, l’Etat exige de ses serviteurs qu’ils fassent preuve d’intelligence cynique, non de partialité sincère. Enfin l’autorité dont il devra faire preuve exclut la connivence, la préférence, le copinage et la subjectivité. Au fond, tiens, c’est moi que François Hollande aurait dû choisir…