Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/06/2007

C'était pas de l'humour

Le prix "Humour et politique 2007" sera attribué par le Press Club le 3 juillet. Mon favori cette année est François Bayrou, qui a tenu ce propos rassurant et définitif : "Si je suis élu, rien ne changera en France !". De même l’an dernier, Ségolène Royal était ma favorite avec "Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit".
Mon lauréat préféré fut, en 1997, Hervé de Charette, président d’un petit parti dont lui-même a dû oublier le nom, qui a dit cette année-là : "Ce n’est pas parce que nous sommes un parti charnière qu’il faut nous prendre pour des gonds !"
Hors concours, en 2007, Yannick Noah : "Si Sarko passe, je me casse !" Dommage qu’il ne figure pas sur la liste. Il est vrai que ce n'était pas de l'humour...

03/11/2006

Guillon, le pape et les barbus

Entendu Stéphane Guillon, l’ancien complice de Stéphane Bern, en promo sur Canal +. Triple promo, en vérité : pour son spectacle au Palais des Glaces, pour sa participation à la nouvelle émission d’Ardisson sur Canal +, et pour son livre publié par… Canal + Editions. Ce n’est plus un humoriste, ce gars-là, c’est un paquet cadeau !
Guillon pratique l’humour ravageur, massacreur, écrabouilleur. Et sans tabou. Enfin presque. Il a une réserve intéressante à propos de la religion. Lui, dans son one-man-show, c’est simple, il ne se moque pas des "barbus" (sic). En revanche, il tape à foison sur Benoît XVI. Pourquoi cette discrimination ? Parce que "quand on insulte Benoît XVI, le lendemain, le théâtre est toujours debout".
Pas fou, le provocateur.