18/08/2024
Alain Delon, in memoriam
C’est comme pour les JO : la nouvelle de la mort d’Alain Delon rassemble spectaculairement la France, loin, très loin des petites combines politiciennes du moment. J’étais allé voir Delon chez lui, à Douchy quand je dirigeais la rédaction du "Figaro Magazine", en février 1997. C’était un personnage complexe, à la fois dur et presque enfantin, impénétrable, fragile et déconcertant. Que gardera-t-on de lui ? Qui dira, par exemple, qu’il est mort en tenant dans sa main une petite croix en bois ?
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15/08/2024
C'est LFI qui tient le manche
C’est simple, la politique. Dès lors que l’Assemblée nationale, décidément ingérable, sera dissoute en juillet prochain, il est facile de prévoir que les députés PS, PCF et EELV ne voudront pas se priver, d’ici là, du soutien du parti LFI – sauf à être massivement battus. Conclusion : tous les efforts pour briser le cartel électoral Mélenchon-Faure-Hollande, dans les semaines qui viennent, seront vains. Et tant pis pour les convictions de chacun : l’objectif, pour un élu, c’est de se faire réélire ! D’autres questions ?
22:49 Publié dans Blog | Tags : lfi, députés, législatives, ps, eelv | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
14/08/2024
Ils veulent gouverner la France
Et revoilà les Thomas Porte, les Danièle Obono, les Sandrine Rousseau, qui avaient disparu des écrans pendant la trêve olympique. Seule la dénommée Lucie Castets avait tenu à faire savoir, dans Paris Match, son homosexualité – dont, franchement, on se tamponne le coquillard ! Mais toujours rien sur le fait que la France doit impérativement réduire son endettement, réguler son immigration, conforter son agriculture et renforcer sa défense : voilà qui n’intéresse pas tous ces gens qui ont l’incroyable prétention de gouverner les Français…
09:47 Publié dans Blog | Tags : politique, lfi, npf, caatets, télé | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
12/08/2024
L'exception russe
Dans cette débauche quotidienne de drapeaux agités joyeusement dans le public ou brandis fièrement par les athlètes américains, australiens, européens, mais aussi chinois, iraniens ou nord-coréens, je n’ai entendu personne – aucun journaliste, aucun commentateur, aucun sportif – regretter l’absence du drapeau russe. Comme si Poutine faisait, au fond, l’unanimité contre lui. Vous imaginez l’humiliation ressentie par la population russe ?
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