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20/07/2024

Tout ça pour ça !

image - Copie.jpgBon, après un tel maelstrom politique, on a besoin de faire le point. Accrochez-vous. La France a un président qui s’appelle Emmanuel Macron. Gabriel Attal est à la tête du gouvernement. Ses principaux ministres sont Gérald Darmanin et Bruno Le Maire. Leurs principaux opposants sont Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. La présidente de l’Assemblée nationale est Yael Braun-Pivet, avec Eric Coquerel à la commission des finances. Depuis hier, la présidente de l’Europe est Ursula von der Leyen. Dingue, non ?

22/06/2024

Macron : le début de la fin ?

macron.jpgLe plus effrayant, dans la crise que nous traversons, est sans doute la colère des braves gens contre le Président de la République. Que le RN et LFI vouent Macron aux gémonies, cela n’a aucune importance politique. Mais qu’à trois ans de la fin de son mandat, 74 % des Français soient durablement furieux contre lui, pestant contre cette dissolution irresponsable qui les jette dans l’inconnu, c’est inédit et très, très dangereux : un président impuissant et discrédité face à une situation ingouvernable, cela se termine comment ?  

11/06/2024

L'Europe ? Où ça, qui ça, l'Europe ?

Legislative-anticipee-LR-RN-Les-Republicains-les-droites-vont-se-dechirer.jpgL’annonce de la dissolution, dimanche, à peine les résultats connus, a permis aux médias français de se focaliser aussitôt sur les alliances, micmacs, calculs, magouilles, pronostics, surprises, croche-pieds, castagnes et trahisons concernant l’élection législative à venir – et à éviter de s’intéresser, même quelques minutes, aux résultats du scrutin européen dans les 26 autres pays de l’Union européenne. Ouf ! On n’a failli être obligé de parler de la Pologne, du Danemark, de la Slovaquie, de l’Italie, vous vous rendez compte !

31/03/2014

Après Valls, la dissolution ?

valls.jpgLes lecteurs de ce blog n’ont pas été surpris par le choix de Manuel Valls, qui était facile à prévoir. Ils ne seront pas étonnés non plus de voir Valls pratiquer la même politique qu’Ayrault, à un chouïa près, tout en rejetant la faute de ses insuccès économiques programmés sur l’héritage Sarkozy, les fachos, les homophobes et autres extrémistes antirépublicains, comme d’hab. En 2015, la crise se sera aggravée, Valls n’aura plus de majorité à gauche, et les élections régionales seront un nouveau désastre pour Hollande. Qui n’aura plus qu’un choix constitutionnel : la dissolution. Donc la cohabitation. Allez, qui veut parier ?